Un merveilleux plat de Mongolie. Son souvenir se mêle avec ceux des chants autour du feu, de la vodka, des mains pleines de graisse d’agneau, et des chiens sauvages qui tournaient autour de nous, attirés par les odeurs.
L’onomatopée du jour : SAKU SAKU ou le froissement du croquant
Pour info, le bruit saku saku ne s'utilise pas seulement pour une panure aérienne, mais aussi pour des sablés, ou du chou. On pourrait traduire par FRSH FRSH, même si je trouve que ça ne sonne pas très gastronomique. Si vous avez des propositions...
A l’étape 1, deux individus doivent emporter la poche des intestins à l’écart pour verser son contenu putride suffisamment loin des narines des convives. Si on vous propose, refusez.
Mais que sont devenus les oignons ? Rien à voir avec les femmes enceintes par hasard ?
En entrée, on te sert le foie entouré de lard légèrement grillé, à peine chaud. Le foie est chaud lui aussi, mais pas à cause du feu. Bref, il est recommandé de boire beaucoup de vodka avant de passer à l’étape « dégustation ».
Soumir tsekhengleeeeee!
Encore, encore, encore…!
oh oui oh oui oh oui !