Mon papa, qui a vu mon précédent post sur l’onomatopée SHAKI SHAKI, a trouvé que les feuilles mangées par la girafe étaient trop grasses pour mériter cette onomatopée. Car pour qu’une salade soit bien SHAKI SHAKI, il faut qu’elle contienne de l’eau… Voici donc la nouvelle image correspondante :
Et la recette :
Salade de mizuna, daikon et myoga (bon OK ça ne va pas être simple de trouver les ingrédients en dehors du Japon…)
Ingrédients pour la salade : feuilles de mizuna, daikon coupé en fins batonnets (3 mm x 3 mm x 4 cm), myoga coupé en fines tranches.
Ingrédients pour la sauce : sauce soja, vinaigre de riz, huile de sésame, graines de sésame grillé
Et bon appétit bien sûr !
P.S. Si vous ne trouvez pas de mizuna, vous pouvez remplacer par des jeunes pousses, et pour le myoga mettez un peu d’échalote + ajouter dans la sauce du gingembre râpé, ça rappellera le goût du myoga.
Dégustation de wagyu dans mon resto de yakiniku préféré : la raison me dit d’attendre que la grille imprime son beau quadrillage noir sur ma petite tranche persillée, mais mes papilles ne peuvent plus attendre…
NB Si vous faites un yakiniku au Japon, n’allez jamais dans des restos où ils utilisent du gaz. Le feu de bois, c’est obligatoire.
Pour info, le bruit saku saku ne s’utilise pas seulement pour une panure aérienne, mais aussi pour des sablés, ou du chou.
On pourrait traduire par FRSH FRSH, même si je trouve que ça ne sonne pas très gastronomique. Si vous avez des propositions d’adaptation, elles sont les bienvenues !!!
Ah, si seulement je savais manger les nouilles comme ça… D’une aspiration précise, faire remonter verticalement une bonne vingtaine de nouilles, sans faire gicler la soupe dans tous les sens et en avoir plein les cheveux…
Car c’est comme ça qu’on mange ses pâtes au pays des samuraïs ! Et ce n’est pas du tout impoli, bien au contraire !
Alors si vous savez le faire et que vous avez des astuces ou des exercices pour s’entraîner, n’hésitez pas à me les communiquer !
« Bang Kumis » (qui veut dire « papa moustache » en indonésien) propose de délicieuses soupes à base de beurre clair, ainsi que des brochettes satay. Explications en images.
Comme promis dans l’épisode précédent sur la cuisine du nouvel an japonais, voici la présentation du « Osechi Ryori », une myriade de petits plats porte-bonheur présentés dans des boîtes selon des codes bien précis.
P.S. J’espère que vous apprécierez cet article car Hananoo en a littéralement chié ! Des journées de recherches sur les blogs de cuisine japonais, afin de regrouper sur ces quelques images plus de 20 plats traditionnels avec des significations et des codes bien spécifiques. Alors maintenant, savourez !
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