Au pays du soleil levant, la norme, c’est l’accouchement sans péridurale. Si vous souhaitez en avoir une, l’acte sera forcément programmé. De mon côté, l’enfantement a été d’autant plus douloureux que le travail a dû être déclenché, puisque j’avais perdu les eaux la veille. Alors, comment survivre à cette épreuve ? Les conseils de la sage femme japonaise…
Et en effet, ça marche !
Et vous ? Comment s’est passé votre accouchement ? Avec ou sans péridurale ? Programmé ? Césarienne ?
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Pour celles qui seraient intéressées par l’accouchement sans péridurale : c’est seulement à la fin de l’accouchement, pendant la délivrance, qu’il faut pousser. Le reste du temps, il faut subir les contractions en s’efforçant de ne pas pousser, pour préserver son périnée et éviter les déchirements. D’où la balle de tennis ou le poing, qui aident à exercer une contre-poussée.
Par ailleurs, au Japon, les sages femmes sont d’excellentes masseuses, ce qui aide énormément pendant le travail.
Mais de mon côté, si j’avais eu le choix, j’aurais adoré avoir une péridurale !!!
On dit que chacun vit différemment la douleur. Pour moi, chaque contraction, c’était comme une armée de chevaux qui serait venue piétiner mon ventre au grand galop… On a beau se dire qu’on n’en mourra pas, on a tout de même l’impression d’être au seuil de la folie. Même si bien sûr, tout est très vite oublié !

Oh mais! les sages-femmes japonaises nous étonneront toujours! Quelle idée!
Soit la souffrance est universelle et cette illustration me rappelle les affres de la « délivrance » que j’ai connu sans péridurale à la naissance de ma fille, et oui, j’ai eu l’idée d’essayer voir…. car mon fils est né tout cool sous péridurale!
Mais qu’on ait pensé à une balle de tennis ou un poing dans la fesse, je suis loin d’imaginer la mauvaise réaction que j’aurais eu! Ce ma rappelle un peu les méthodes indiennes? Mais Hananoo faut nous en dire plus sur ces méthodes pour le moins surprenantes! Et alors on t’a fait connaître ce « doux soulagement » de la balle de tennis ou du coup de poing??
Au nom de toutes les femmes, nous compatissons avec toi et c’est vrai que ça marque une femme, une mère! Qui a dit que l’on était condamner à engendrer dans la douleur?????
Bon ben, maintenant que gentil Eiji est né…. on oublie tout!!! Ben, ça fait une deuxième place en crèche à trouver!!!
Geneviève