Onomatopée-Haïku pour contempler la saison des pluies…
Et comme adaptation française, je propose évidemment SLURP SLURP. Et vous ?
Onomatopée-Haïku pour contempler la saison des pluies…
Et comme adaptation française, je propose évidemment SLURP SLURP. Et vous ?
BAKI BAKI peut aussi s'utiliser pour un craquement silencieux, comme celui des vergetures qui apparaissent soudain au 8ème mois de grossesse... En français, on dirait : CRIC, CRAC... n'est-ce pas ?
Pendant la saison des pluies, la nature reprend ses droits...
C'était une onomatopée pour l'Europe qui brillait jusqu'à vendredi...
Pendant la saison des pluies, il fait si humide que l'air est irrespirable les jours des poubelles qui brûlent... NB au Japon, les poubelles, c'est tout une histoire : bien sûr, on trie. Mais le plus compliqué, c'est de sortir sa poubelle le bon jour. Dans notre...
Dégustation de wagyu dans mon resto de yakiniku préféré : la raison me dit d'attendre que la grille imprime son beau quadrillage noir sur ma petite tranche persillée, mais mes papilles ne peuvent plus attendre... NB Si vous faites un yakiniku au Japon, n'allez jamais...
Et encore une onomatopée de plus pour la saison des pluies... JIME JIME s'utilise pour décrire l'humidité de l'air ambiant, et ne doit pas être confondue avec JITO JITO qui désigne l'humidité qui colle au corps. Vous suivez ? PS je suis toujours en retard pour ma BD...
Vous connaissiez ZAAA, l'onomatopée de la grosse pluie. Voici SHITO SHITO, celle de la pluie fine. C'est toujours la saison des pluies ici à Yokohama. L'autre jour, j'ai croisé au parc une jeune office lady qui mangeait son bentô sous la pluie, à peine protégée par...
La suite logique de BERO BERO c'est GAN GAN... NB Je posterai la BD de la semaine demain. J'ai pris un peu de retard sur le dessin avec toutes ces folies !
Un samedi soir difficile... Petite note pour les japonophiles : BERO BERO exprime aussi le bruit émis par une langue qui lèche ou une langue pendue.
Le linge qui sèche oscille sous la brise de l'été... Encore une onomatopée bien difficile à adapter en français... Si vous avez des propositions, je les intègrerais volontiers dans mes traductions !
florp flarp… ça fait un quart d’heure que je cherche a fait un bruit visqueux avec ma bouche, heureusement qu’il n’y a plus personne au bureau 😉
Pas mal du tout Floarp floarp ! Le visqueux qui n’éclabousse pas…
Floutch floutch, comme lorsqu’on sort d’un bain dans les eaux turbides du Kinabatangan avec des chaussettes de ski aux pieds.
Cher Binturong,
Merci pour cette remarque. Je me permets d’apporter quelques précisions.
Pour moi, « floutch floutch » exprime l’eau qui éclabousse.
Or avec « nuru nuru », on est vraiment dans le visqueux Par exemple, les champignons naméko sont nuru nuru. Ou encore le fonds d’un fleuve plein de boue. Ou encore d’autres liquides visqueux dont je ne peux parler dans ce site. Une recherche image google avec ぬるぬる vous montrera bien ce que je sous-entends… Enfin dans ce cas « floutch floutch » pourrait effectivement marcher.
OUACH OUACH, c’est vraiment collant….cet épisode!
Très collant en effet… Ce que je me disais, c’est que les sons « ch » et « tch » en français font penser à l’éclaboussure… Et dans nuru nuru c’est du collant sans éclaboussure. Qu’en penses-tu ?
T’as sûrement raison mais je pense aussi que tout est dans la tonalité ! Tu vois quand on prononce en japonais ou en français, c’est pas pareil, et donc l’évocation non plus…Ah l’évocation des onomatopées, leur musique, tout un imaginaire, un « onomatopaire » (inspiré d’abécédaire) que tu serais en train de créer pour le plus grand bien de l’humanité?